Je n'ai que douze ans, on croit qu'on a que simplement profiter, et a bien écouter les parents, comme les enseignements. J'ai compris que là d'ou je viens tout est une question de survie. Les parents sont violents, ils me frappent, m'insultent à longueur de temps, et personne ne m'est venu en aide. Pourquoi ? Ils ne sont probablement pas au courant. Ou ils doivent mentir en me donnant le mauvais rôle comme d'habitude. Ils ont toujours une fausse raison pour reporter leur malheur sur ma personne. Je doute qu'ils sachent ce que c'est d'être parent, d'aimer quelqu'un, de le protéger comme une famille normale. Ils ne connaissent que violence, et souffrance, et ils partagent ça sur moi, comme un souffre douleur. Ils me considèrent pas comme leur enfant, mais un souffre douleur depuis maintenant douze ans, je me demande même pourquoi ils m'ont adoptés. Je dois surement être maudit pour être maltraité, et mal aimé par mon entourage. A part, un jeune homme, mon cousin, qui est comme mon frère, que je n'ai jamais eu. Oui, je suis fils unique, sinon je plains le prochain. A moins que leur propre enfant soit « aimé » parce qu'ils proviennent de leur chair, et non d'un centre adoption pour enfant. Bref, mon cousin, prénommé Matthew m'a donné un coup de main pour échapper à ce cauchemar, en invitant, trouvant des excuses pour m'éloigner, et même prévenant ses parents, ce qu'ils n'ont sûrement pas du comprendre. Ou ils ne croient pas les paroles de leur adolescent. Les enfants c'est connu, ils inventent des histoires pour ne pas s'ennuyer. Ils peuvent m'expliquer pourquoi je me serais battu moi-même pour m'amuser ? C'est complètement stupide, comme certain adulte qui ne cherchent pas à comprendre, trouvant ça absurde qu'un parent se comporte de cette façon avec son enfant.
Là en ce moment, je me prépare pour la grande aventure, m'échapper de cette atmosphère. Je met de quoi m'habiller, me brosser, et soigner mon hygiène dentaire et corporelle. J'essaye d'être le plus discret possible pour ne pas me faire remarquer. Sinon ils vont m'intercepter et m'empêcher de rejoindre mon cousin pour me protéger. Ils en sont capable, et n'hésiterons même pas une seconde pour faire leur apparition, du coup je dois préserver mon anonymat, et franchir la porte rapidement pour reprendre une vie normale, sans aucun inconvénient, uniquement une famille aimante, prêt à me donner un coup de main. Je laisse dans le même désordre pour ne pas qu'ils remarquent ma disparition, ensuite je marche discrètement jusqu'à la porte de la maison, avant de refermer le plus lentement possible, néanmoins pas suffisant. Apparemment, ils ont remarqué ma disparition dans les courants des dernières secondes, quand ils m'appellent pour sûrement m'accabler de tous leurs tords. Je me dissimule derrière les murs, avant de répondre brusquement ❝ Go ! Ils m'ont vu ! ❞ dis-je avec un ton enfantin, et quelque peu boudeur en cause de mon indiscrétion. J'ai pourtant fais mon maximum pour couvrir mais cela a été inefficace, étant déjà démasquer dans moins de quinze secondes, uniquement le grincement de la porte.
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Sujet: Re: misfortunes - matthew Mar 16 Fév - 0:24
misfortunes
Each life is one !
Il avait quelque chose comme onze ou douze ans, comme tout enfant de son âge, le jeune homme profitait de sa vie ! Il appréciait sa situation, ni trop riche, ni trop pauvre, pouvant se permettre des sorties, des choses et ses parents étaient plutôt agréable. Mais le jeune homme avait un poids sur le cœur, quelque chose qu’il ne pouvait pas partager : Son cousin Priam se faisait battre par ses parents. Il l’avait découvert par hasard, parce qu’il regard toujours les détails, parce qu’il connaissait son cousin, parce qu’il avait vu mais qui aurait pu le croire ? Ses parents qui adoraient son oncle et sa tante et les pensait des gens absolument sans souci et charmant ? Leurs professeurs ? Il n’en était pas sûr, qu’ils les croiraient et qu’ils comprendraient. Il tentait donc d’inviter son cousin pour tout et rien et parfois même en cachette. De toute façon, ses parents semblaient penser qu’il était saint. Sans doute à sa manière.
C’était encore un de ces soir ou il le faisait venir en cachette, de toute façon, sa chambre était largement prévue pour deux, comme il avait toujours l’habitude d’inviter son cousin, c’était des lits superposés. Il devait avouer qu’il adorait ça et puis ses parents ne pensaient pas regarder en haut quand il venait voir s’il dormait bien. Enfin, Matthew avait dit qu’il allait sortir le chien, brave petit gamin, ses parents avaient acquiescé en souriant. Lui disant de ne pas aller trop loin. Oui bien sûr, il allait juste aller chercher son cousin, comme toujours. Une fois qu’il était arrivé au coin de la rue, il vit l’autre jeune homme se cacher, il courut presque vers lui et lui pris le bras pour le rassurer. Il voyait bien que son cousin s’en voulait un peu de s’être fait remarquer sans doute un peu trop tôt. Il regarda la porte, jusqu’à maintenant, les parents n’étaient pas encore sorti voir dehors.
– Tu veux que je vienne faire diversion pendant que tu t’enfui vers chez moi ? Ou on part en courant ensemble ? Je pourrais faire croire que je viens te rendre visite, ils feront semblant de se calmer et ne te chercherons pas tout de suite.
Il observa un instant le jeune homme, le temps qu’il lui réponde. Il aurait tout fait pour lui et même se prendre le coup à sa place. Il faisait toujours tout pour les gens qu’il aimait. Et il adorait les faire se sentir si particulier, unique et tellement merveilleux, depuis tout jeune même. C’était une particularité du jeune homme. Il semblait pouvoir attendre des heures votre réponse et en même temps être impatient de pouvoir agir pour vous. L’enfant était déjà sur le qui-vive prêt à aller dans une direction ou dans une autre en fonction des consignes de Priam. Il savait bien que son oncle et sa tante se calmeraient et montrerais une image de parent parfait, ils seraient même capable de faire croire qu’ils ignoraient qu’il était parti ou bien lui dirait qu’il avait eu la même idée en suggérant de courir rapidement par le raccourci ou le long de chemin en fonction de là où il était venu. Enfin tout sauf expliquer qu’ils étaient en train de hurler après leur fils pour une raison assez idiote en somme, juste parce que quelque chose ne convenait pas. Ne jamais montrer que les choses qu’on fait son mal vue par la société même si « de toute façon, c’est de sa faute ».
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